Rodrigue
Depuis quand travailles-tu ? chez Caloriver et quel est ton parcours ?
Je suis arrivé dans l’entreprise il y a 35 ans, par le bouche à oreille, c’était une petite entreprise à l’époque. J’ai commencé en étant monteur Reynaud : des vitrages isolants qu’on pouvait réinstaller sur des fenêtres simple vitrage. Et puis après, je suis passé par pas mal de postes : la coupe, les expéditions, j’ai même été chauffeur et aujourd’hui je suis responsable d’atelier. L’entreprise s’est beaucoup développée, cela a ouvert des possibilités, j’ai répondu présent et on m’a fait confiance.
En quoi consiste ton métier ?
Je dirais que je suis un peu comme un coach sportif : je suis là pour fluidifier l’ensemble des ateliers entre la coupe, les fabrications et les expéditions.
Aujourd’hui de quoi es-tu le plus fier dans ton parcours ? Dans ton métier actuel ?
Ce qui me rend fier, c’est d’avoir des gens qu’on peut faire travailler encore malgré leur âge avancé et qu’ils restent toujours contents de ce qu’ils font. Mon rôle c’est de trouver des solutions. Et puis il y a un faible turnover des encadrants donc c’est qu’ils sont bien dans ce qu’ils font et de mon côté, j’aime bien ce qu’ils font. Donc c’est très satisfaisant.
Une petite anecdote en 35 années passées à Calorigoup ?
Pas vraiment une anecdote mais quand je suis rentré chez Caloriver, je disais tout le temps « je ferai jamais 10 ans ici » et bien ça fait 35 ans que je suis là !
Si tu devais recommander Calorigroup à quelqu’un, tu dirais quoi en premier ?
Est-ce qu’il veut appartenir à une grande famille ? Si oui, il aura sa place avec nous.
Qui se cache derrière le chef d’atelier ?
Un homme simple avec des passions comme tout le monde : j’aime bien l’histoire. Et j’ai un passé sportif, j’ai bien dit un passé ! Dans les arts martiaux…
Un péché mignon ?
J’aime la lecture et j’aime bien manger : je suis à la fois gourmet et gourmand !
Une phrase culte ?
Si on regarde le passé, si on garde le présent, on loupe l’avenir.
Depuis quand travailles-tu chez Caloriver et quel est ton parcours ?
Cela fait environ 4 ans que je travaille chez Calorigroup, je suis arrivée en tant que plieuse de cadre et je suis maintenant pilote de ligne. Je suis arrivée en interim avant de signer un CDi. Avant, j’ai travaillé en maison de retraite et j’ai aussi été chauffeuse-livreuse, je n’ai donc pas toujours travaillé en équipe.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ? En quoi consiste t-il ?
J’aime mon poste parce que c’est assez diversifié et j’aime le côté physique, devoir porter et ne pas être statique. Il faut aussi réfléchir à comment faire les lots, on ne s’ennuie jamais. Je suis sur la ligne de fabrication donc je vois la chaîne depuis la fabrication de la vitre jusqu’au produit fini, avec le contrôle de la qualité, de toute la production. J’aime faire un travail propre et voir le résultat.
Aujourd’hui de quoi es-tu le plus fier dans ton parcours ? Dans ton métier actuel ?
J’ai été la première femme cheffe d’équipe et ça fait plaisir qu’en tant que femme, on puisse le faire ! J’aime participer à la production des vitrages et faire la même chose que ce que font les hommes même si beaucoup me disent encore que je ne devrais pas tout faire ! Mais c’est ce qui me plaît, et je joue à plein mon rôle de cheffe d’équipe, il n’y a pas de différence.
Si tu devais recommander Calorigroup à quelqu’un, tu dirais quoi en premier ?
Il y a une très bonne entente dans le personnel, que ce soit dans les bureaux ou sur les lignes de production, c’est une ambiance sympathique.
Un péché mignon ?
J’aime la mer et les vacances au chaud !
Depuis quand travailles-tu chez Calorifloat et quel est ton parcours, un peu particulier semble t-il ?
Je travaille chez Calorifloat en tant que responsable de maintenance depuis 2021. Mais auparavant, j’étais technicien de maintenance ici à Calorifloat. Et ensuite je suis parti/revenu pour enrichir mon CV. Je suis parti mais j’avais en effet envie de revenir travailler pour Calorifloat et de retrouver les équipes.
En quoi consiste ton métier ?
Je suis responsable de maintenance, cela consiste à organiser et planifier la maintenance sur les lignes de production, de la coupe jusqu’à la ligne de production et d’assemblage.
Qu’est-ce que tu aimes dans ton métier ?
Le métier est polyvalent, on passe de technicien de maintenance à manager à l’encadrement des opérateurs de production lors des maintenances annuelles. On est aussi polyvalent sur les tâches en mécanique, en électricité ou en automatisme. C’est un métier ultra complet.
Aujourd’hui qu’est-ce qui te rend fier de travailler chez Calorifloat ?
Faire grandir les personnes autour de moi et m’améliorer aussi dans ce cas ! C’est à dire aider et accompagner les personnes que j’encadre, faire des formations en interne ou dans d’autres entreprises du groupe pour les faire monter en compétence.
Qu’est-ce qui t’as fait revenir et surtout maintenant rester chez Calorifloat ?
C’est vraiment l’accompagnement de Calorifloat, on connaît la maison mère Caloriver, c’est familial. On est bien entouré, avec de bonnes personnes et on est bien formé aussi. Et puis ça bouge tout le temps, par exemple l’intégration de la ligne 3, c’est un challenge ! On ne monte pas une ligne de fabrication tous les ans dans une entreprise. Et le fait de travailler entouré de personnes compétentes qui sont à l’écoute, c’est très important. On travaille ensemble, on n’est pas isolé.
Si tu devais recommander Calorigroup à quelqu’un, tu dirais quoi en premier ?
C’est une société à taille humaine, on n’est pas dans une case, on peut évoluer facilement, j’en suis la preuve vivante, j’étais technicien et, par étapes bien entendu, je suis devenu responsable. C’est moins évident dans des grosses structures.
Qui se cache derrière le chef d’atelier ?
J’aime le sport, je suis un ancien rugbyman à l’ASM (Clermont Auvergne) et j’ai un parcours en sport études rugby. J’aime aussi le cinéma. Et évidemment, m’occuper de mes enfants, passer du temps avec eux, me balader en forêt, ramasser les champignons. J’ai aussi une bonne culture du vin, je cultive mon côté épicurien.
Une anecdote ?
Plutôt un souvenir qui aurait pu être une grosse galère. Quand je suis arrivé on a remplacé une pompe à engrenage sur la ligne, une pompe qui vaut très très cher… On s’est donné les moyens de réussir avec toute l’équipe de maintenance et tout le monde s’est mis à disposition pour redémarrer la ligne, c’était dur mais on a réussi !
Depuis combien de temps travailles-tu chez Sotraver ?
Je suis chef d’équipe préparateur de commandes chez Sotraver depuis maintenant 1 an et demi, et cela fait 3 ans et demi que je suis ici. Je m’occupe du colisage et de bien charger les charriots ou les pupitres en fonction de la taille ou de la forme des verres. Il arrive que l’on ait des grandes tailles, ils sont alors fixés sur des châssis porte-verre avec des porte-char, c’est impressionnant. Je m’occupe aussi du chargement et de la gestion des camions ainsi que du colisage. C’est la partie administrative qui permet de bien vérifier que ce qui est chargé dans chaque camion correspond à la commande et donc que tout est conforme pour la livraison au client.
En quoi c’est intéressant d’être dans le groupe Caloriver ?
Le fait d’être dans un groupe nous permet de voir comment d’autres font, de pouvoir comparer et de nous améliorer chez nous. C’est un bon point. On voit qu’il y a de la solidarité dans le groupe, on peut partager les expériences.
Quel est ton rythme de travail ?
Je travaille soit du matin, soit l’après-midi et je peux profiter de ma famille, beaucoup plus que dans mon ancien métier.
Qu’est-ce que tu aimes dans ton métier ?
A titre personnel, j’ai un peu d’ambition et j’aime aller toujours plus loin. Je reste parce que je suis motivé. Et j’ai l’envie de découvrir d’autre choses aussi, plus j’en fais et plus j’en apprends, ça me convient. J’ai aussi pu suivre des formations qui m’ont permis d’apprendre des choses différentes et complémentaires. J’aime aussi former les personnes de l’équipe en faisant du mieux possible et en prenant le temps qu’il faut pour qu’ils soient bien formés, comme quand je suis arrivé.
Si tu devais recommander Sotraver à quelqu’un, tu dirais quoi en premier ?
Qu’on est une équipe motivée et une équipe de jeunes qui ont envie de faire au mieux pour les clients et pour la société. Le reste va tout seul !
Qui se cache derrière l’opérateur ?
Un joueur de foot ! Mais je me suis arrêté après une blessure. Je reste quand même un grand amoureux du ballon rond. Et je suis un ancien boulanger, je continue à faire des pâtisseries, c’est aussi un très beau métier la boulange mais pour l’instant c’est le week-end !
Son péché mignon : la tarte citron meringuée
Depuis quand travailles-tu chez Calorifloat ?
Je travaille chez Calorifloat depuis 3 ans, ma mission c’est de développer les ventes et mon portefeuille client.
En quoi consiste ton métier ?
Cela consiste aussi à entretenir de bonnes relations avec la clientèle, à vérifier le degré de satisfaction des clients, à connaître leurs besoins et à proposer les services en adéquation avec ces besoins. En général, je fais de l’administratif plutôt le lundi et j’organise aussi les deux semaines suivantes pour aller en rendez-vous sur le terrain. Nous avons une réunion avec la direction commerciale pour faire un compte-rendu des rencontres passées, ce que me disent les clients, la conjoncture et mon retour sur le marché en général. Pour les rendez-vous chez les clients, j’essaie de me coordonner avec les chauffeurs, j’aime bien caler les rendez-vous en même temps que l’arrivée des livraisons, cela me permet de rencontrer les personnes des ateliers et pas seulement les administratifs. Je tourne toute la semaine sur les secteurs géographiques de la Savoie, la Haute-Savoie, l’Ain, l’Isère et le Rhône. Quatre jour sur cinq, je suis donc sur la route en déplacement. La journée je vois les clients et en fin d’après-midi, je regarde mes mails et je me consacre à l’administratif. Mais le but est d’être le plus présent possible en clientèle.
Quelles sont les qualités qu’il faut pour exercer ton métier ?
Du relationnel, de l’écoute, de la diplomatie… on ne peut pas toujours tout dire ! Il faut savoir écouter le client et le rassurer, savoir l’accompagner aussi lorsqu’il y a des problèmes particuliers. Le client a besoin de se sentir accompagné le mieux possible.
Qu’est-ce que tu aimes dans ton métier ?
Je vais à rencontre des clients mais pas seulement, j’aime aller sur les chantiers également, j’ai donc une relation de partenaire. Et ce que j’aime vraiment beaucoup c’est le rôle de conseiller technique, trouver des solutions à leurs projets, les accompagner pour leur futur chantier. Souvent les demandes de devis ne sont pas très claires, ça me permet d’échanger et de leur proposer des produits et des prix adaptés, et d’avancer avec eux dans leur projet. Ensuite je peux travailler au mieux à la proposition commerciale, en fonction des besoins et des concurrents qu’on a en face.
Aujourd’hui qu’est-ce qui te rend fier de travailler chez Calorifloat ?
Calorifloat est reconnue pour son professionnalisme et mon travail est reconnu aussi bien en interne qu’en externe.
Si tu devais recommander Calorigroup à quelqu’un, tu dirais quoi en premier ?
L’esprit d’équipe ! On travaille très bien en équipe et c’est agréable, on s’entend super bien. Et puis on est autonome et on m’accorde aussi beaucoup de confiance. Et je suis aidé lorsqu’il y a des difficultés, on est appuyé. Ça fait vraiment plaisir !
Qui se cache derrière le commercial ?
Je suis assez sportif, je pratique le cyclisme et la course à pied. J’aime aussi aller à la pêche. J’aime beaucoup le cinéma, particulièrement les films de Quentin Tarantino et de Guy Ritchie que j’attends toujours avec impatience !
Une anecdote ?
Ah oui, j’avais un ancien collègue qui est maintenant à la retraite, un jour il dit à un client : « Aujourd’hui, je vous promets que je vous mens pas, vos vitrages sont cassés »… ce qui sous entendait que les autres fois, il pouvait ne pas dire la vérité. Ça m’avait beaucoup fait rire !
Depuis combien de temps travailles-tu chez Technifloat ?
Cela fait 15 ans que je suis à Technifloat et cela fait 7 ans que je suis coupeur.
En quoi consiste plus précisément ton métier ?
Je prépare la coupe de verre en général. On reçoit des grand plateaux de verre de 6 mètres qui vont sur une table de coupe. La découpe en elle-même est réalisée par un robot. On doit ensuite enlever les débandages, c’est à dire les chutes, et ensuite déposer les plaques sur un charriot pour que le verre passe en production. Il y a différentes épaisseurs en fonction du type de verre. Et il y a une différence entre le « float » qui est comme du vitrage normal et le « feuilleté », où on a deux plaques de verre avec un film entre les deux pour que ça ne se brise pas. La découpe du feuilleté est plus longue. On travaille dans la chaleur et il faut supporter les équipements de sécurité en été quand il fait chaud mais en hiver, on est à l’abris !
Qu’est-ce que tu aimes dans ton métier ?
J’ai un tempérament plutôt hyperactif alors j’aime bien ce poste parce que c’est physique et que ça bouge tout le temps. Les horaires aussi sont intéressants en 2 x 8, ça laisse du temps, ça me permet par exemple d’avoir une activité à mon compte, je suis aussi carreleur. C’est physique également, pas besoin de faire du sport ! J’ai aussi ma fille en garde alternée, ça me permet d’en profiter lorsqu’elle est chez moi.
Qui se cache derrière le coupeur ?
J’aime profiter de la vie et partir en vacances. Mon rêve serait de retourner au Canada, j’y étais quand j’étais tout petit avec mes grands-parents, c’est très beau.
Depuis combien de temps travailles-tu chez Technifloat ?
Je suis en poste de gestionnaire de commandes chez Technifloat depuis 17 ans.
En quoi consiste plus précisément ton métier ?
Je suis chargée d’enregistrer les commandes dans notre logiciel. Nous recevons les commandes des clients de différentes façons : soit en manuel soit via l’EDI. En manuel, le service de planification nous transmet les commandes à enregistrer. Elles sont saisies d’une manière bien particulière parce qu’on travaille en J+3 donc on a des priorités à faire jusqu’à 11h le matin. L’EDI, c’est sous forme de téléchargement, on visualise les commandes et on gère en fonction des dates de livraison demandées. Les commandes peuvent ensuite être planifiées et partir en production. C’est un métier qui demande de l’attention et de la précision même si le logiciel est assez simple d’utilisation. Il nous arrive par exemple de devoir demander des précisions aux clients par mail avant de pouvoir bien enregistrer tous les éléments. Et il y a des spécificités à connaître car il peut y avoir différentes appellations pour un même produit. Mais tout cela s’apprend, je suis bien placée pour en parler ! Je viens de la couture, je n’avais aucune connaissance dans le double-vitrage et j’ai appris sur le tas. Il faut être attentif et on y arrive, tout s’apprend !
Quel est ton rythme de travail ?
Je travaille du lundi au vendredi, 8h à 17h30 avec une coupure à midi mais on a un esprit d’équipe, quand on part manger à midi, on sait que le travail est fait et qu’on ne fait pas attendre quelqu’un. Tout le monde s’adapte en fonction de l’intensité du travail.
Qu’est-ce que tu aimes dans ton métier ?
J’aime beaucoup mon métier, j’adore ce que je fais et je suis toujours contente de venir travailler. Il y a eu par exemple des personnes à former car l’équipe s’est agrandie, tout cela est intéressant. J’apprends à connaître les produits, j’ai des contacts avec les clients, il faut être à l’écoute et ça se passe bien. C’est aussi un travail d’équipe, entre nous à la saisie et avec le planning, on bouge beaucoup, on communique. C’est très diversifié, je ne m’ennuie jamais !
Si tu devais recommander Technifloat à quelqu’un, tu dirais quoi en premier ?
C’est une super entreprise avec des bons collègues, il y a de la rigueur, c’est cadré et donc c’est très agréable.
Qui se cache derrière la gestionnaire de commande ?
Je suis très gourmande et on a de très belles choses à voir dans notre région, j’en profite !
Depuis combien de temps travailles-tu chez SOTRAVER ?
Je suis « opérateur chaîne feuilleté », cela fait plus de 21 ans que je travaille ici, j’ai changé de poste mais j’ai toujours travaillé dans le même secteur du feuilleté. Je ne m’occupe plus du verre maintenant mais du film. Le feuilleté c’est au minimum 2 verres avec un film qu’on assemble. J’optimise et je prépare les films pour qu’il y ait le moins de perte possible. Ça ressemble beaucoup à la coupe de verre puisque c’est de la gestion de la matière première. Le poste est semi automatisé, en fonction de la commande, je gère l’optimisation de la matière et ensuite la découpe est automatisée. C’est aussi moi qui ai en charge la gestion des stocks de matière première et des commandes. Je suis en lien avec les équipes commerciales pour anticiper les besoins sur la ligne de feuilleté en fonction des futurs chantiers, je ne suis pas toujours sur la chaîne.
En quoi consiste plus précisément ton métier ?
Sur la ligne de feuilleté nous sommes tous polyvalents même si on connaît mieux notre poste, par habitude. J’interviens au milieu de la chaîne. Au départ, il y a une personne qui prépare les verres pour le lavage puis il y a la salle d’assemblage qui est climatisée. Il faut un environnement froid et à l’air sec et c’est là que l’on assemble les films et les verres, 1, 2 ou 3 films et plusieurs verres, cela dépend de la commande. Ensuite il y a la découpe puis le verre est pressé dans un four et ensuite il y a un passage dans l’autoclave, une sorte de grosse cocotte minute qui permet que le verre devienne transparent. Après cela, il y aura le façonnage du verre en fonction de ce qu’on va en faire.
Quel est ton rythme de travail ?
Je suis toujours du matin, je fais 5h, midi 1/2, du lundi au vendredi. Ça me permet de faire quelques travaux dans la maison qu’on a achetée et je m’occupe ensuite des enfants qui arrivent vite en milieu d’après-midi. Ça a des avantages ! Même si avec l’âge, je me rends compte que c’est fatigant quelquefois !
Qu’est-ce que tu aimes dans ton métier ?
Je suis assez autonome dans mon poste et même si les tâches se ressemblent, en vérité c’est très différent chaque jour. C’est pas une chaîne comme on l’imagine souvent où on fait le même geste tout le temps : c’est entre l’industriel et l’artisanat. C’est intéressant parce qu’on peut tout faire avec le verre, les couleurs, c’est comme de la peinture. Et puis il y a l’ambiance aussi, ça y fait beaucoup, nous sommes 6 sur la chaîne et il y a une bonne camaraderie, c’est agréable.
Et j’aime aussi avoir réussi à faire tout ce que j’ai à faire dans une journée, respecter le planning, même quand c’est compliqué. Je me mets souvent à la place du client… C’est bien de savoir que le client aura ce qu’il avait demandé en temps et en heure, c’est ce que j’aimerais si c’était moi.
Si tu devais recommander Sotraver à quelqu’un, tu dirais quoi en premier ?
C’est un milieu industriel en usine avec une cadence à respecter mais ça reste aussi un travail d’artisanat. On a de l’autonomie et on travaille dans une bonne ambiance. On ne fait jamais la même chose, les verres évoluent, les créations aussi.
Qui se cache derrière l’opérateur ?
J’adore voyager ! Même si maintenant, avec la vie de famille, c’est plus compliqué. J’étais aux États-Unis, en Islande, au Portugal, aux Açores, à Madère, au Danemark, en Grèce… J’aimerais aller dans un pays asiatique.
Depuis quand travailles-tu chez Calorifloat et quel est ton parcours ?
Je m’appelle Corinne, j’ai 53 ans et cela fait presque 2 ans que je suis chez Calorifloat. J’ai démarré en tant qu’intérimaire durant 1 an. J’ai exercé plusieurs métiers : j’ai été préparatrice de commande dans une marque de vêtement et avant j’ai travaillé dans une usine agroalimentaire dans laquelle on fabriquait des cakes. J’ai été licenciée pour un soucis de santé. C’est là que je me suis inscrite dans une boîte intérimaire. J’ai travaillé dans beaucoup de secteurs et j’aime bien le milieu industriel, je m’adapte très vite !
En quoi consiste ton métier ?
Je suis sur une nouvelle ligne qui a été créée en février 2023. C’est une ligne où tout se fait manuellement et on travaille en journée. J’ai un poste sur lequel je tourne. Je m’occupe pendant 1 heure et demi de bien vérifier les cadres, qu’ils n’aient pas de défaut et ensuite je place le vitrage avant la presse et le collage. Je travaille avec des gants blancs pour éviter les traces de doigt à l’intérieur des doubles-vitrages et on peut avoir à nettoyer les vitres si on détecte une tâche. Ensuite je suis sur un autre poste où je pose la partie d’étanchéité en vérifiant là aussi, que tout est en ordre et qu’il n’y a pas de défaut, que tout est au bon poids, conforme à la commande du client. On a aussi tout un système de contrôle et de notes à relever pour le poids justement et les caractéristiques de la fenêtre ainsi que mes références pour la traçabilité.
Quelles sont les qualités qu’il faut pour exercer ton métier ?
C’est un poste qui demande beaucoup de rigueur et de précision mais c’est intéressant parce que ce n’est pas lassant.
Qu’est-ce que tu aimes dans ton métier ?
On fait tout pour bien faire et faire de la qualité. On pourrait croire que c’est de la rengaine cette ligne, mais justement non, parce qu’il faut être minutieux et attentif et on a des formats de cadres totalement différents. quelquefois il faut être deux pour poser la vitre si le cadre est très grand. Donc il faut savoir s’adapter, travailler avec les autres. Avec mon binôme, on est complémentaire et quand on a un doute on s’interroge et on s »entraide, on s’écoute et se fait confiance.
Aujourd’hui qu’est-ce qui te rend fière de travailler et comment tu recommanderais Calorifloat ?
Je ne vais pas au travail en reculant ! J’aime beaucoup mon équipe et j’ai un chef super qui nous laisse travailler, qui nous fait confiance et ça je trouve que c’est très bien. Il n’y a pas longtemps, nous avons été félicitées parce que notre équipe a obtenu d’excellents résultats en contrôle qualité, notre travail est reconnu. J’ai travaillé dans énormément d’entreprises, mais Calorifloat c’est vraiment bien. À tous les niveaux, on nous fait confiance, tout le monde est à l’écoute, la direction est très proche des salariés, on fait bien notre travail et on est tranquille !