Alexandre
Technicien de maintenance
Depuis quand travailles-tu chez Calorifloat et quel est ton parcours, un peu particulier semble t-il ?
Je travaille chez Calorifloat en tant que responsable de maintenance depuis 2021. Mais auparavant, j’étais technicien de maintenance ici à Calorifloat. Et ensuite je suis parti/revenu pour enrichir mon CV. Je suis parti mais j’avais en effet envie de revenir travailler pour Calorifloat et de retrouver les équipes.
En quoi consiste ton métier ?
Je suis responsable de maintenance, cela consiste à organiser et planifier la maintenance sur les lignes de production, de la coupe jusqu’à la ligne de production et d’assemblage.
Qu’est-ce que tu aimes dans ton métier ?
Le métier est polyvalent, on passe de technicien de maintenance à manager à l’encadrement des opérateurs de production lors des maintenances annuelles. On est aussi polyvalent sur les tâches en mécanique, en électricité ou en automatisme. C’est un métier ultra complet.
Aujourd’hui qu’est-ce qui te rend fier de travailler chez Calorifloat ?
Faire grandir les personnes autour de moi et m’améliorer aussi dans ce cas ! C’est à dire aider et accompagner les personnes que j’encadre, faire des formations en interne ou dans d’autres entreprises du groupe pour les faire monter en compétence.
Qu’est-ce qui t’as fait revenir et surtout maintenant rester chez Calorifloat ?
C’est vraiment l’accompagnement de Calorifloat, on connaît la maison mère Caloriver, c’est familial. On est bien entouré, avec de bonnes personnes et on est bien formé aussi. Et puis ça bouge tout le temps, par exemple l’intégration de la ligne 3, c’est un challenge ! On ne monte pas une ligne de fabrication tous les ans dans une entreprise. Et le fait de travailler entouré de personnes compétentes qui sont à l’écoute, c’est très important. On travaille ensemble, on n’est pas isolé.
Si tu devais recommander Calorigroup à quelqu’un, tu dirais quoi en premier ?
C’est une société à taille humaine, on n’est pas dans une case, on peut évoluer facilement, j’en suis la preuve vivante, j’étais technicien et, par étapes bien entendu, je suis devenu responsable. C’est moins évident dans des grosses structures.
Qui se cache derrière le chef d’atelier ?
J’aime le sport, je suis un ancien rugbyman à l’ASM (Clermont Auvergne) et j’ai un parcours en sport études rugby. J’aime aussi le cinéma. Et évidemment, m’occuper de mes enfants, passer du temps avec eux, me balader en forêt, ramasser les champignons. J’ai aussi une bonne culture du vin, je cultive mon côté épicurien.
Une anecdote ?
Plutôt un souvenir qui aurait pu être une grosse galère. Quand je suis arrivé on a remplacé une pompe à engrenage sur la ligne, une pompe qui vaut très très cher… On s’est donné les moyens de réussir avec toute l’équipe de maintenance et tout le monde s’est mis à disposition pour redémarrer la ligne, c’était dur mais on a réussi !